PSYCHANALYSE ET SEXUALITÉ : un mélange explosif !

La psychanalyse, les psy et la psychiatrie en général ont toujours suscité beaucoup d’intérêt dans le monde. Mais si l’on associe la psychanalyse à une sexualité débordante, nous obtenons un mélange explosif et dangereux ; une sorte de 49.3 de la vie ou de chemsex toxique. Mon dernier roman, « La Psy » évoque ce condensé inquiétant ce qui explique certainement son succès auprès du grand public. Même des chanteurs et des acteurs s’y sont intéressés. Peut-être Gérard Depardieu, Jane Birkin (non, elle est décédée !) ou Pierre Palmade, qui sait, ont-ils lu ce roman érotique (attention certains passages sont réservés à un public averti).

 

Comme vous le savez, le but de la psychanalyse est d’explorer l’inconscient du patient pour tenter de solutionner des problèmes remontant à son enfance. Un psy travaille avec vous sur différents conflits et cette forme de thérapie rencontre généralement beaucoup de succès. Ce n’est pas Gérard Depardieu, Jane Birkin ou Pierre Palmade qui me contrediront sur ce point. Nous pouvons donc, d’une certaine manière, comparer la psychanalyse à un 49.3 de la thérapie ou à un chemsex efficace. Tous les psy seront d’accord sur ce point. Pour en revenir à mon roman érotique « La Psy », l’héroïne rencontre des problèmes relatifs à sa sexualité et le tribunal la condamne à une obligation de soins. Voici un extrait de « La Psy », qui vous permettra de vous faire une idée du récit :

 

« … vous vous demandez peut-être, chers lecteurs (et chères lectrices) pourquoi je vous raconte tout ça ? En fait, je ne suis pas en train de bavarder avec une amie, ou de me remémorer cette histoire. Je me trouve actuellement dans le cabinet d’une psychanalyste, madame Éva Trémoulet, qui m’écoute gravement en prenant des notes. Elle m’a fait allonger sur son divan pour que je lui parle de mes fantasmes. Pour ne rien vous cacher, j’ai eu dernièrement des petits problèmes. Ma nymphomanie m’a conduite au tribunal, car j’ai agressé sexuellement (pour reprendre l’expression du juge) un stagiaire au bureau. J’ai été condamné à une obligation de soins : en l’occurrence une dizaine de séances de psychanalyse. J’ai le sentiment que ce traitement est plus efficace que de m’enfermer dans une prison sinistre ou de me mettre sur une moto-crottes pour nettoyer la ville.

 

Ma psychanalyste, Éva Trémoulet est une grande dame, mince, la quarantaine, très brune, les ongles très longs. A première vue, elle semble efficace et professionnelle. Elle porte souvent de jolies ensembles, mais toujours dans des teintes neutres. Voudrait-elle ainsi diminuer son rôle ou se draper dans son rôle d’écoutante ?

 

Elle me reçoit pour la deuxième fois. Elle parle peu, en cherchant sans doute à m’apprivoiser. Peut-être que je lui fais un peu peur, car elle me jette souvent de drôles de regards ? Elle doit me prendre pour une folle (ou pour une désaxée sexuelle), bien que les psychanalystes ne jugent pas, comme elle me l’a répétée plusieurs fois. J’ai commencé par lui parler de moi, de ma vie et de mes idoles comme Gérard Depardieu, Jane Birkin ou Pierre Palmade. Comme je reste silencieuse depuis un certain temps, elle me demande doucement comment j’ai vécu ma relation avec le chasseur, et ce que j’ai vraiment ressenti.

 

- C’est difficile à dire. D’une part, il y a eu ce rapport forcé. Je ne voulais pas faire l’amour avec lui, mais j’y étais obligé si je voulais sortir de cette forêt. D’autre part, baiser en pleine nature, à la vue de tout le monde, m’a vraiment excité et j’avais la chatte trempée lorsque je suçais ce beau mâle et lorsqu’il me prenait par derrière.

 

- Faire l’amour en public (ou dans la nature) est l’un des fantasmes les plus répandus, murmura-t-elle. L’interdit ajoute une touche de piquant au rapport sexuel. De nombreuses femmes auraient été ravies d’être à votre place, car lorsque qu’un acte est interdit, il devient follement excitant.

 

- C’est vrai ! J’avais toujours peur que quelqu’un arrive et qu’on me découvre en train de me faire prendre dans les broussailles. J’imaginais que cela pouvait être un gendarme, ou un garde-chasse et je voyais les ennuis arriver vitesse grand V. Cette peur a décuplé mon désir et j’ai joui comme une folle, tandis que mon amant m’éjaculait sur le dos et sur les fesses, en secouant son membre.

 

- Parmi les lieux insolites préférés des dames, la plage est souvent citée, précisa-t-elle, mais aussi la piscine, le jacuzzi ou les jardins publics.

 

- Je vous avoue que j’ai peu pratiqué la baise en plein air. Ceci dit faire l’amour dans un jacuzzi me tenterait beaucoup. Chevaucher un bel étalon avec de l’eau bouillonnante autour, ce doit être très jouissif. Je suis certaine que je prendrai un pied d’enfer en faisant l’amour comme ça!

 

 

Ce passage vous a plu ? Vous n’avez pas été choqué ou effrayé ? Vous n’avez pas vécu cette lecture comme un 49.3 de la vie ou un chemsex apocalyptique ? Très bien, alors je continue. Lorsqu’on entame une psychanalyse, la psy qui vous reçoit ne doit pas avoir de rapports personnels avec vous et, bien évidemment, les relations intimes sont prescrites. Néanmoins, suite à un concours de circonstances, la psy fait l’amour avec sa patiente dans mon roman érotique. Il y a eu comme un glissement pervers, un 49.3 aventureux ou un chemsex explosif qui a provoqué cet incident. Jugez plutôt :

 

« … M’dame Trémoulet, y-a un pli qui est arrivé pour vous, expliqua l’assistant toujours sucé par la cliente … 35 000 € à régler sous huitaine … Un redressement fiscal, je crois.

 

- Non, de non … Je savais que j’étais poursuivie par le fisc … C’est un supplice chinois, cria la psy, en se remettant à sangloter.

 

Elle me faisait pitié cette dame et elle m’attirait en même temps. Comme elle s’était affalée sur le siège de Patrick. Je me mis à lui tapoter l’épaule et elle se laissa faire. Ses sanglots faisaient sauter ses gros seins et je trouvais ça très érotique. La scène commençait à bien m’exciter. Je ressentais toujours de la jouissance à entendre quelqu’un pleurer.

 

En étendant les bras, elle fit tomber la bouteille d’eau posée sur le bureau et le contenu coula sur sa robe. En la prenant par les épaules, je murmurais qu’on allait réparer ça toutes les deux et je l’entraînais vers la salle de bain. Nerveuse, dépassée par tous ces événements et gênée de cette situation, elle se laissa faire. Arrivée aux sanitaires, je la débarrassais de sa robe. Elle portait ce jour-là un joli vêtement en laine claire. Elle se retrouva alors en soutien-gorge et en string. Ces dessous étaient très sexy. Noires et rouges, ils ne manquaient pas de piquant. Surtout que son string était fendu et quelques poils noirs pointaient le bout de leur nez. Elle devait avoir une chatte très fournie à en juger par l’épaisseur de la touffe. Attrapant une serviette, je me mis à essuyer l’eau qui avait coulé sur sa poitrine et sur ses cuisses. En même temps, je m’étais rapidement mise à poil, ce qui ne fut pas une mince affaire avec mon soutif qui avait du mal à se dégrafer. En revenant sur elle, j’insistais particulièrement sur sa chatte et ma caresse devint peu à peu libidineuse.

 

- Arrêtez, arrêtez … Ça suffit, murmura la psy, sans vraiment y croire.

 

- Calme-toi, murmurais-je d’un ton apaisant. Détends-toi … Tes problèmes vont s’arranger … Tiens, si tu as des problème de fric, je peux t’en prêter !

 

- Vous feriez ça ?

 

- Bien sur … Mais d’abord, tu vas te détendre … M’appeler Judith … et te laisser faire…

 

J’avais abandonné la serviette et je m’étais agenouillée à ses pieds. Ma main gauche flattait ses fesses, tandis que la droite s’occupait de sa foufounette.

 

- Mais … Mais … Que faites-vous, gémit-elle ? Vous me caressez ? Je ne veux pas, ce n’est pas le moment.

 

- reste tranquille … Savoure ce moment magique où je prends soin de toi … Oublie tous tes problèmes …

 

- Je suis perdue en ce moment … Je ne sais plus quoi faire, conclut la psy, en se laissant faire.

 

Arrêtant mes caresses, je descendis lentement son string rouge et noir et sa chatte apparut en pleine lumière. Très poilue, les bords soigneusement épilés, plus touffue au centre que sur les côtés, elle était vraiment attirante et j’avais une folle envie d’y fourrer ma langue dedans.

 

- Ça va trop loin … Arrêtez maintenant, murmura-t-elle d’une voix blanche.

 

- Je vais bien m’occuper de ta moule, ma chérie. Et tu vas en redemander !

 

N’écoutant plus ses protestations, je me rapprochais de sa chatte et, en lui écartant les jambes, je collais ma langue au milieu. Elle sursauta, mais elle ne dit rien. Ma menteuse se mit à lécher les parois humides de sa foufounette, avant d’aller explorer le fond. Je passais et je repassais plusieurs fois dans tous les coins de son trou et je sentis qu’elle était ravie, car elle ouvrit de plus en plus ses jambes, en me caressant les cheveux. La grande succion commença et je m’en léchais les babines d’avance. Comme c’était bon de goûter à une bonne chatte de femelle ; une belle grotte qui avait du voir passer pas mal de bites, de langues et de gods ; un délicieux orifice qui ne demandait qu’à donner du plaisir et à en recevoir.

 

- T’as une belle touffe, ma salope, murmurais-je, en relevant la tête, la bouche pleine de mouille.

 

- Stop … Ça va mal finir, répondit-elle, sans croire à ce qu’elle disait.

 

- T’en fais pas ma grande ! On va aller jusqu’au bout et tu vas prendre ton pied  ... »

 

Vous avez perçu toute la sensualité de cette scène ? Vous avez senti tout l’érotisme qui se dégageait de ces lignes ? Ce n’est certainement pas Gérard Depardieu, ni Pierre Palmade, ni Jane Birkin qui me diront le contraire. On pourrait presque comparer ce passage à un 49.3 de la luxure ou à un chemsex de l’amour. De plus, on perçoit parfaitement le détresse de cette psy, qui perd les pédales en ne sachant plus quoi faire. Nous pouvons donc conclure que, dans ce roman érotique « La Psy », la psychanalyse et la sexualité sont devenus un mélange explosif.

 

J’espère que ces quelques lignes vous ont permis de découvrir « La Psy », un nouveau roman érotique et qu’elles vous ont mis l’eau à la bouche en raison de leur sensualité et de leur érotisme exacerbé, qui ne tombent jamais dans la vulgarité ! Découvrez donc « La Psy » ce 49.3 de l’amour et ce chemsex du plaisir. Je reste persuadé que Gérard Depardieu, Pierre Palmade et Jane Birkin seraient d’accord avec moi. Bonne lecture mes ami(e)s et à bientôt pour de nouvelles aventures érotiques et sensuelles. Cliquez sur le titre du roman érotique pour y accéder.

 

Julien DORCEL

 


 

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0

Écris à Julien DORCEL  (l'auteur)...

Note : veuillez remplir les champs marqués d'un *.