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SOEUR AMOUR : LE FANTASME DE LA BONNE SOEUR

Chers lecteurs, chères lectrices, nous avons tous des fantasmes, que nous n’osons pas toujours avouer. Ils jouent un rôle entre le désir et nous et cela fait partie de notre petite cuisine interne. Sans céder à l’hubris, nous tenons beaucoup à nos fantasmes, qui constituent une part de nous même. Un peu comme le chat de la voisine, nous cherchons tous quelques chose ailleurs. Le fantasme de la bonne sœur figure au top 10 chez les hommes … et même chez certaines dames. Mon dernier roman érotique 2025 : SŒUR AMOUR est une romance sensuelle mettant en scène des religieuses délurées.

 

Fantomatiques dans leur tenue, souvent cachées derrière une cornette ou le grand mur d’un couvent, les bonnes sœurs ont toujours généré certains fantasmes. De nombreux films, parfois sensuels, parfois humoristiques ont illustré ce phénomène en raison du mystère, qui entoure les nonnes, les religieuses et les bonnes sœurs. Certains hommes les taquinent d’ailleurs en les traitant de « nanas habillées en pingouin ». D’autres imaginent les fantasmes qu’ils pourraient assouvir avec une bonne sœur en l’entraînant dans un tourbillon sensuel. D’autres enfin imaginent leur chat (ou leur chatte) dans une position coquin. SŒUR AMOUR, un roman érotique 2025 décrit de manière romanesque les dérapages de certaines bonnes sœurs. Connaissez-vous cet ouvrage ? Je vous le résume rapidement : naïve et prude, sœur Amour est obligée de confesser les paroissiens d’un village du Bourbonnais. Elle découvre alors le sexe et les dépravations en tout genre, en faisant sa petite cuisine interne. Initiée à la fellation et aux plaisirs lesbiens par une jeune libertine, elle va se laisser entraîner dans une spirale érotique. Au fil du temps, elle va adorer donner du plaisir aux hommes. SŒUR AMOUR est un roman érotique 2025 avec une jeune héroïne volontaire et forte malgré son manque d’expérience.

 

Les fantasmes actuels sont-ils différents de ceux de nos parents ? Certainement pas ! Faire l’amour avec une dame sur une plage, avec une infirmière, ou avec une secrétaire constituent toujours les fantasmes courants de la gente masculine. Certains ont des goûts plus érotiques, comme un rapport à trois ou faire l’amour avec de la nourriture, mais cela reste une exception et tout dépend de notre petite cuisine interne et de notre hubris ! SŒUR AMOUR est un roman érotique 2025 qui va au fond des choses, en décrivant, pour notre plus grand plaisir, toute la jouissance que peut apporter les caresses d’un partenaire. Laissez-moi vous en lire un extrait : Je me mis à lui avouer que j’avais ressenti un peu la même chose à midi lorsque j’avais sucé un homme. Le fait de prendre un sexe d’homme dans la bouche m’avait causé un plaisir intense. Ma foufounette s’était transformée en fontaine et j’avais le bout des seins tout dur. Sous l’effet de l’alcool contenu dans la tisane, je lui racontais toutes mes émotions et, en me soulevant légèrement, je me troussais jusqu’à la ceinture et je lui montrais mon intimité. Mon chat (ou plutôt ma chatte) était trempé. J’écartais les jambes pour mettre en valeur ma petite toison.

 

- Après tout ce que vous m’avez raconté, Capucine, je parie que cela vous a excité ? Je me trompe ?

 

- Non … Regarde !

 

Elle s’assit près de moi et elle toucha mon minou aussi mouillé que le sien. Puis, de fil en aiguille, elle se mit à me tripoter. Après son index, ce fut deux puis trois doigts qui s’introduire dans ma fente. J’étais au comble du bonheur. Elle me proposa que l’on se déshabille entièrement, ce que j’acceptais avec plaisir. Nous étions toutes les deux dans un état second et nous avions complètement oublié la présence des deux hommes dans la pièce d’à côté.

 

- Enfin à poil, Capucine … Je sens que nous allons passer un bon moment.

 

- Oui … Ta langue dans ma touffe … Vite, implorais-je !

 

Ce passage vous a plu ? Vous êtes sous le choc ? Découvrez vite SŒUR AMOUR, le roman érotique 2025 : ou le fantasme de la bonne sœur !

 

 

Enfin, peut-on dire que les fantasmes sont de mauvaises choses ? Non, nous sommes tous des hommes et des femmes avec leurs désirs et leur part d’ombre. Nous avons tous des désirs inassouvis, qui ne sont ni criminels, ni dangereux et nous nous arrangeons tous avec notre petite cuisine interne. Il n’y a rien de malsain la-dedans, ni même d’hubris. Nous cherchons tous notre part de bonheur et de plaisir que ce soit dans les films, dans les lectures ou sur les réseaux sociaux. Il n’y a rien de dramatique, ni de punissable en cela. Un extrait de SŒUR AMOUR, un roman érotique 2025, me revient en mémoire. Laissez-moi vous le raconter : après ma prière du soir, alors que j’entendais mes consœurs se coucher dans leurs cellules, je repoussais ma chemise de nuit. Au couvent, nous avions obligation de porter une longue chemise de nuit, en toile rêche, qui descendait jusqu’aux mollets. Mais ce soir-là, j’étais excitée. J’avais le sang à la tête et de drôles de penses m’habitaient. J’avais caché la carotte sous mes affaires dans un coin de ma cellule. J’entendis sonner neuf heures du soir, puis dix heures, mais je ne dormais toujours pas. Je ne pensais qu’à cet objet phallique, que j’avais envie d’essayer.

 

Lorsqu’il fut onze heures du soir et que j’entendis les ronflements des autres sœurs dans les pièces voisines, je me relevais sans bruit, nue comme un ver et j’allais chercher ma précieuse carotte dans la cuisine. Je la ramenais rapidement dans mon lit et je la caressais longuement. La soeur-cuisinière l’avait bien grattée et nettoyée et elle était douce comme la peau. Je me touchais la foufounette également et je m’aperçus qu’elle était toute mouillée. Je me mis à sucer et à lécher mon nouveau god. Je lui trouvais un goût délicieux, à la fois doux et fruité et je m’appliquais à le lubrifier avec ma salive.

 

Puis, le grand moment arriva et je me l’enfilais dans mon chat (… plutôt dans ma chatte). Au début, il ne se passa rien. J’en arrivais à me demander s’il n’y avait pas de l’hubris derrière tout cela. Puis, en l’enfonçant plus profondément, je commençais à ressentir des petits frissons. Plusieurs minutes passèrent tandis que je me masturbais avec ce god improvisé. Soudain, alors que je le dirigeais plus profondément au fond de moi, je sentis une violente douleur en même temps qu’une folle excitation. J’accélérais le mouvement et le plaisir devint si intense que je ne pus m’empêcher de parler et de crier des horreurs. Pris par l’orgasme qui montait en moi, je ne contrôlais plus et je continuais à proférer des obscénités, lorsqu’on frappa à ma porte.

 

En proie à mes fantasmes, je continuais à me goder sans répit. Malgré la règle, j’avais tiré le verrou et personne ne pouvait rentrer. Je poursuivais ce que j’étais en train de faire, tout en accélérant le mouvement. Mais, on continuait à toquer à la porte, en murmurant :

 

- Sœur Amour … Sœur Amour … Vous ne vous sentez pas bien ?

 

Il me fallut aller ouvrir, car j’avais reconnu la voix de ma copine, la sœur Bardin. Sans m’habiller, je cachais ma carotte dans les draps et j’allais déverrouiller la porte, furieuse d’être dérangée. Celle-ci se tenait debout, les cheveux ébouriffés, en tenue de nuit. Lorsqu’elle me vit, elle sursauta :

 

- Mais … Mais, vous êtes toute nue, ma sœur, s’exclama-t-elle, stupéfaite.

 

- Heu … Oui … J’avais trop chaud !

 

- La règle nous interdit de dormir nue ! En plus, vous ne semblez pas dans votre état normal.

 

- Pourquoi, demandais-je, en tentant de cacher ma nudité.

 

- J’ai l’impression que …

 

- Quoi donc ?

 

- Que vous vous êtes touchée, ma sœur, précisa-t-elle, en pénétrant dans ma cellule et en refermant la porte derrière elle.

 

Elle me regarda longuement. Puis ses mains commencèrent à me toucher les tétons. Ils étaient tellement durs depuis la montée du plaisir, qu’elle n’eut aucun doute sur la cause de mon excitation. Sa main droite descendit ensuite vers mon chat (enfin … ma chatte), qui était tout mouillé. Elle passa et repassa ses doigts entre mes poils soyeux, dont la plupart étaient collés par l’humidité. On sentait un peu d’hubris derrière tout cela.

 

- Mais vous êtes trempée, ma sœur. Votre sexe dégouline de plaisir comme les femmes de mauvaise vie dont nous a parlé la mère supérieure.

 

- J’avoue … J’avoue que je me suis godée ce soir, sœur Bardin.

 

- Godée ? Mais avec quoi ? A la cuisine ? Ne me dites pas que vous vous êtes procurée ces instruments bizarres dont se servent les débauchées ?

 

La sœur Bardin semblait bizarre, elle-aussi. Son regard était fuyant et elle avait les pommettes rouges, comme en proie à une forte excitation. Je pensais que les histoires, que je lui avais racontées à la promenade, avaient dû l’émoustiller. Peut-être s’était-elle masturbée avant de venir me voir ?

 

Sans rien dire, je me dirigeais vers mon lit et j’en retirais la carotte, encore pleine de mouille, que je lui montrais. Elle l’examina longuement et elle sentit même l’objet de mon plaisir.

 

- Elle sent très fort ... Vous avez du vous donner beaucoup de plaisir ?

 

- Je sais que c’est défendu … Mais c’était tellement bon que j’ai hâte de recommencer.

 

- J’espère que personne ne vous a entendu, dit-elle !

 

Enfin, avant de terminer mon article sur SŒUR AMOUR, le roman érotique 2025, je voudrais conclure que je n’ai jamais voulu me moquer des religieuses, des nonnes et des bonnes sœurs qui ont fait don de leur vie au Seigneur. Ce sont des exemples pour tous dans notre société moderne et de belles personnes que j’admire au plus haut point.

 

Julien DORCEL, votre romancier de charme préféré

 


 

 

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